Le syndrome des jambes sans repos c’est quoi au juste ?
Voilà un drôle de nom pour un syndrome, mais qui peut être source d’une véritable gêne au quotidien. Ce syndrome se manifeste par un inconfort dans les jambes à type de gênes, voire de picotements, ou encore de sensations de brûlure, dont l’intensité varie beaucoup d’une personne à l’autre. Ces sensations désagréables surviennent au repos et sont partiellement soulagées en bougeant les jambes. Pendant des années, les patients souffrant de ce syndrome, attribuaient faussement leurs symptomatologies à un problème veineux et essayaient toutes sortes de traitements pour la circulation sans effet notoire. Il s’agit donc d’un problème neurologique qui touche 10% de la population et qui peut être très sévère dans 3% des cas. Dans la majorité des cas, on ne retrouve pas de cause, on parle de syndrome idiopathique. Parfois, on retrouve une carence en fer ou en acide folique qu’il suffit alors de corriger pour que les symptômes disparaissent. Il existe des médicaments dopaminergiques qui miment l’action de la dopamine que l’on prescrit quand les symptômes sont sévères entraînant des insomnies 2 à 3 fois par semaine. Mais ces traitements comportent des effets indésirables comme des nausées ou vomissements même s’ils sont prescrits à des doses plus faibles que dans la maladie de Parkinson. Reste que l’on peut conseiller pour soulager les symptômes de bouger les jambes lorsque l’on en ressent le besoin, ou de ne pas tenter de réprimer l’envie de bouger les jambes et de pratiquer des petits exercices d’étirements en finissant par un auto-massage des jambes le soir avant d’aller se coucher.
Voilà un drôle de nom pour un syndrome, mais qui peut être source d’une véritable gêne au quotidien. Ce syndrome se manifeste par un inconfort dans les jambes à type de gênes, voire de picotements, ou encore de sensations de brûlure, dont l’intensité varie beaucoup d’une personne à l’autre. Ces sensations désagréables surviennent au repos et sont partiellement soulagées en bougeant les jambes. Pendant des années, les patients souffrant de ce syndrome, attribuaient faussement leurs symptomatologies à un problème veineux et essayaient toutes sortes de traitements pour la circulation sans effet notoire. Il s’agit donc d’un problème neurologique qui touche 10% de la population et qui peut être très sévère dans 3% des cas. Dans la majorité des cas, on ne retrouve pas de cause, on parle de syndrome idiopathique. Parfois, on retrouve une carence en fer ou en acide folique qu’il suffit alors de corriger pour que les symptômes disparaissent. Il existe des médicaments dopaminergiques qui miment l’action de la dopamine que l’on prescrit quand les symptômes sont sévères entraînant des insomnies 2 à 3 fois par semaine. Mais ces traitements comportent des effets indésirables comme des nausées ou vomissements même s’ils sont prescrits à des doses plus faibles que dans la maladie de Parkinson. Reste que l’on peut conseiller pour soulager les symptômes de bouger les jambes lorsque l’on en ressent le besoin, ou de ne pas tenter de réprimer l’envie de bouger les jambes et de pratiquer des petits exercices d’étirements en finissant par un auto-massage des jambes le soir avant d’aller se coucher.